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Union Générale des
Travailleurs de Côte d'Ivoire
Siege Social
Bourse du Travail de Treichville
Adresse
05 BP 1203 Abidjan 05
Téléphones
(225) 21 24 09 78
(225) 21 24 10 12
(225) 21 24 16 95
Fax
(225) 21 24 08 83
Site Web
www.ugtci.org
Email
ugtcisg@yahoo.fr
 

L’UGTCI dans la danse

jeudi 15 Avril 2010
 

L’Union générale des travailleurs de Cote d’Ivoire (UGTCI), la centrale syndicale la plus importante, a ouvertement menacé hier d’entrer en grève a tout moment par solidarité a leurs adhérents chauffeurs et transporteurs actuellement en grève depuis lundi dernier pour protester contre les augmentations du carburant a la pompe. L’UGTCI, pour ce faire s’est réunie hier toute la journée a son siège social (Treichville) pour arrêter cette décision avant de la communiquer lors d’une conférence de presse. « Nous allons prendre nos responsabilités et la grève est un élément de ces responsabilités », ont martelé tour a tour les deux hommes qui ont animée la rencontre avec les journalistes. C’est-dire MM. Adé Mensah et Ebagnerin Joseph respectivement secrétaire général de la centrale syndicale et no2 de l’UGTCI. « Nous appelons impérativement le gouvernement à suspendre la décision d’augmentation du prix du carburant à la pompe pour ouvrir les discussions. Aujourd’hui ce sont les maillons faibles qui en pâtissent. Nous ne pouvons accepter cela. Nous avons l’obligation de réagir », ajoutent les conférenciers. Et de dénoncer avec vigueur « les cadres de concertation crées » par le passé lors des précédentes crises similaires et jamais activées par le gouvernement. « Personne au niveau du gouvernement ne semble apporter de solution ».
Cette grève des transporteurs qui paralyse Abidjan depuis lundi dernier avait été déjà annoncée peu avant la formation du dernier gouvernement dit Soro II. Puis mise en veilleuse a cause de la situation politique née de la crise  a la CEI. Elle gagne aujourd’hui l’intérieur du pays. Dans la mesure où les longues lignes desservant Abidjan et les autres villes ne sont plus animées. Ce qui crée un vrai désarroi au sein des populations. D’où la nécessité de parer au plus pressé avant qu’il ne soit trop tard.

 

Felix Teha Dessrait

 
 
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